Début du confinement, arrêt brusque de tous les projets en cours.
Sentiment dominant : grande tristesse.
1. Gnossienne n°1, Erik Satie 1890
(saxo soprano, clarinette métallique, clarinette basse)
La plus connue des Gnossiennes d'Érik Satie. C'est comme pour ses Gynmopédies, on en connait une et pour ce qui est des autres...
À la radio, j'avais entendu une version jouée au saxo soprano par Steve Lacy qui avait été invité à jouer du Satie dans le cadre d'un ensemble de manifestations consacrées au compositeur. Je n'ai pas retrouvé trace de l'évènement, en tous cas, ça m'a donné envie de m'y coller.
Inédit pour moi :
- Jouer une musique relevant du répertoire Classique.
- M'enregistrer à la clarinette et à la clarinette basse.
Photos Éloi Chamczyk, 2019.
Musée d'art contemporain DOX, Pragues, Intérieur du "ballon dirigeable".
incertitude, inquiétude, insomnie.
2. Le Grand Lustucru, Jacques Deval, Kurt Weill 1934
(chant, saxo soprano, clarinette, clarinette basse, synthé, électronique)
Ce n'est pas la première fois que je joue ce morceau mais c'était dans un tout autre contexte : la chorale d'école qui l'a chanté deux ou trois fois dans le cadre d'un gala de chorales d'écoles (les F.O.L.ies musicales) au théâtre de Roanne.
Cette chanson est tirée de : "Marie Galante" une pièce de Jacques Deval sur une musique de Kurt Weill.
Inédit pour moi :
- Enregistrer autant de parties différentes pour un seul morceau.
Photo d'un masque du Grand Lustucru utilisé lors d'un spectacle des FOLies musicales.
